Le racing dans les médias.

Ha cool . Merci bien .

Pfffffffffffff.. N'en jetez plus...mais ça serait con , apres tout ça, de ne pas gagner ce soir....

Encore merci Tavernier , contenu très intéressant et enrichissant .

Myka a écrit:

Encore merci Tavernier , contenu très intéressant et enrichissant .

On parle de nous en Angleterre :

https://www.theguardian.com/football/2022/aug/29/franck-haise-very-special-lens-ligue-1

Laudric a écrit:

On parle de nous en Angleterre :

https://www.theguardian.com/football/2022/aug/29/franck-haise-very-special-lens-ligue-1

Traduction please . . J adore le qualificatif , le talisman fofana !

Myka a écrit:

Laudric a écrit:

On parle de nous en Angleterre :

https://www.theguardian.com/football/2022/aug/29/franck-haise-very-special-lens-ligue-1

Traduction please . . J adore le qualificatif , le talisman fofana !

Frank Haise fait quelque chose de très spécial en maximisant les talents à Lens

Par Adam White pour Get French Football News

Adam Blanc
lun. 29 août 2022 14h34 BST
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FRanck Haise jaillit. Le manager de Lens était interviewé sur la ligne de touche après que son équipe ait remporté un match la saison dernière lorsque Thierry Henry , qui travaillait comme expert à la télévision, a fait irruption dans une critique élogieuse de l'équipe "contagieuse et impressionnante" de Haise. Haise, qui était complètement inconnu de la plupart des fans à peine deux ans plus tôt, a eu du mal à contenir son bonheur en entendant une légende du football français s'enthousiasmer pour son côté dynamique. Il fait quelque chose de spécial à Lens. Lorsque Haise a pris la relève il y a deux ans, ils étaient en Ligue 2. Aujourd'hui, ses joueurs respirent l'air raréfié au sommet de la Ligue 1. Et c'est son premier poste de direction.

Après quatre matchs dans la saison, Lens est aux côtés du PSG et de Marseille en tête du classement avec 10 points chacun. Lens a battu Monaco 4-1 le week-end dernier avant de dépasser Rennes, généralement fluide, qui a terminé quatrième de la Ligue 1 la saison dernière, samedi. Même si Lens a brillamment réussi et terminé septième lors de ses deux dernières saisons, sa forme cette saison reste une surprise.

De nombreux observateurs du football français pensaient qu'il avait déjà atteint son apogée, d'autant plus que les grands clubs français (ceux qui ne sont pas relégués, en tout cas) se sont tous renforcés au cours de l'été. Lille et Lyon, qui ont terminé sous Lens la saison dernière, devraient terminer le mercato en tant qu'espoirs de la Ligue des champions. Monaco , Marseille et le PSG ont tous amélioré leurs effectifs cet été. Et Nice devrait faire de même cette semaine avant la fermeture de la fenêtre.

Lens a cependant perdu trois de ses quatre meilleurs joueurs cet été. Leur meilleur buteur la saison dernière, l'attaquant de 20 ans Aranud Kalimuendo, revenu au PSG après un prêt de deux ans puis signé à Rennes ; le meneur de rythme du milieu de terrain Cheick Doucouré a été transféré à Crystal Palace; et l'international français Jonathan Clauss, qui a fourni 11 passes décisives d'ailier la saison dernière, a été débauché par Marseille. Même si le talisman Seko Fofana est resté au club, maintenir le même niveau que les deux dernières années semblait être délicat.

Cependant, Lens est l'un des clubs les plus astucieux d'Europe et fait preuve d'une réelle ruse en matière de recrutement. Ils ont atteint leurs objectifs tôt dans la fenêtre de transfert, donnant à Haise toute la pré-saison pour travailler avec son équipe – et ça se voit. Les nouveaux arrivants ont été soigneusement identifiés et acquis en toute simplicité.

Le milieu de terrain titulaire, Salis Abdul Samed, est arrivé de Clermont pour remplacer Doucouré, et l'international ghanéen s'est montré discrètement exigeant et efficace aux côtés de Fofana dans un rôle crucial pour l'équipe. La saison dernière, Doucouré contrôlait calmement le milieu de terrain par lui-même, permettant à Fofana, en roue libre, de marauder vers l'avant et de soutenir les attaques dans le cadre de la configuration directe et imposante de Haise en 3-5-2. La forme dynamique de début de saison de Fofana, qui a un peu ralenti à la fin de la saison dernière, témoigne de la capacité d'Abdul Samed et de la confiance que Fofana a en son nouveau partenaire.

Franck Haise, responsable de Lens.
Il était également important pour Lens de remplacer Kalimuendo, auteur de 12 buts la saison dernière. L'attaquant Loïs Openda, qui a ouvert le score contre Monaco le week-end dernier et a frappé le but vainqueur contre Rennes samedi, apporte ce tranchant. Finisseur rapide et habile, le joueur de 22 ans a amassé 18 buts en 33 matchs d'Eredivisie pour Vitesse Arnhem la saison dernière et, à seulement 10 millions d'euros, il a coûté la moitié de ce que Rennes a payé pour signer Kalimuendo du PSG.

Haise a la capacité d'extraire le meilleur d'un groupe apparemment professionnel. Jimmy Cabot était censé remplacer Clauss après que le milieu de terrain offensif ait été soigneusement réorienté par l'entraîneur Gerald Baticle en tant qu'ailier arrière la saison dernière, mais il reste en marge. Przemysław Frankowski, qui est passé d'arrière gauche, et Deiver Machado, qui a lutté contre une blessure après avoir rejoint Toulouse l'été dernier, ont gardé Cabot sur le banc. Avec la clé de la créativité des ailiers pour le système de Haise, la paire persistante et énergique a aidé Lens à attaquer tout en protégeant habilement ses trois arrières. Clauss, le chouchou du bruyant Stade Bollaert-Delelis il y a quelques mois à peine, a, pour l'instant du moins, été largement oublié.

La propension de Haise à maximiser le talent peut être vue dans toute l'équipe. L'arrière central Jonathan Gradit, qui a été relégué à Caen en 2019 après avoir passé une grande partie de sa carrière à Tours dans les divisions inférieures, est devenu le défenseur le plus sous-estimé et le plus fiable de la Ligue 1. Florian Sotoca, auparavant un autre également couru en Ligue 2, est maintenant un deuxième attaquant délicat avec un œil pour une passe. Il a réussi un triplé alors que Lens battait Brest 3-2 lors de la première journée de la saison - l'un de ses nombreux matchs gagnants au cours des deux dernières années.

Mais Fofana reste la vedette. Après avoir joué en quelque sorte en tant que moteur du milieu de terrain, exécuteur et créateur à la fois au cours des deux dernières saisons, le capitaine a suscité l'intérêt du PSG, d'Arsenal et de nombreux autres clubs. Heureusement pour Haise, l'Ivoirien devrait rester encore un an. Le remplacer serait une tâche presque impossible.

Cependant, comme l'a souligné Henry, le secret de Haise est l'atmosphère «contagieuse» qu'il génère autour de l'équipe. Lorsque Clauss a été convoqué pour la première fois dans l'équipe de France, des images ont émergé des joueurs de Lens célébrant sauvagement, avec un Clauss émotif au centre du groupe. Les scènes ont été parmi les plus réconfortantes de la saison dernière et elles ont montré que les joueurs sont aussi harmonieux en dehors du terrain qu'ils le sont dessus. L'émotion montrée par l'honnête et fier Haise aux paroles d'Henry résume la philosophie de Lens. Comme le montre leur départ fulgurant dans un environnement turbulent, leurs plus grandes réalisations sont probablement encore à venir.

Sofoot veut voir l'équipe actuelle aller au bout :
https://www.sofoot.com/seko-fofana-ne-les-quitte-pas-518174.html

L'equipe :






La voix du nord

J'aime beaucoup la conclusion de l'article de Sofoot consacré au match d'hier:

"Au moins, c'est clair : les Lensois sont déjà prêts à jouer en milieu de semaine la saison prochaine. "

Bratac a écrit:

J'aime beaucoup la conclusion de l'article de Sofoot consacré au match d'hier:

"Au moins, c'est clair : les Lensois sont déjà prêts à jouer en milieu de semaine la saison prochaine. "

Je les aime de plus en plus sofoot

Comment Lens s'est installé à la table des plus grands de Ligue 1

Le RC Lens peut réussir le meilleur départ en Championnat de son histoire s'il s'impose cet après-midi à Reims. Ses résultats actuels témoignent surtout de la continuité de son projet depuis son accession en Ligue 1.

La dernière fois que l'on a parlé de nous aussi bien (après le succès éclatant face à Troyes, 4-0, le 5 novembre), nous en avions pris 4 à Brest (0-4, le 21 novembre). » Directeur général du RC Lens, Arnaud Pouille a rappelé jeudi combien le succès, les projections, voire les compliments sont parfois éphémères.

« On a des frissons, on ressent un fort engouement autour du club, a poursuivi le dirigeant artésien. On a 30 000 abonnés, 12 000 qui se sont engagés à vie et on vient de terminer notre dixième match à guichets fermés (5-2 contre Lorient, mercredi). Mais, avec nos moyens, on n'avait pas programmé d'être là au classement (après cinq journées). »

Depuis leur remontée en Ligue 1 (2020), les Sang et Or n'ont pourtant cessé de progresser à tous les étages. Leur début de saison à 13 points laisse présager que la saison 2022-2023 sera celle de la maturité. Dans le prolongement des deux 7e places en L1 et d'un dernier trimestre 2021-22 plus solide.

Franck Haise, entraîneur de Lens
« On est très content de ce qui est mis en place, admettait vendredi l'entraîneur, Franck Haise. C'est une construction échelonnée sur plusieurs années. Elle nous a permis d'étoffer notre staff, d'améliorer nos infrastructures, notre cellule de recrutement, notre communication avec l'arrivée de Benjamin Parrot. Le club essaye d'évoluer à tous les niveaux. De proposer le plus de bons matches possibles. Sans se fixer de limites. Mais rassurez-vous, on va perdre. Je ne sais pas quand, mais ça va arriver. Et peut-être que vous nous regarderez un peu moins. Nous, on cherche à être les plus réguliers possibles, à rester performants. La crainte de la défaite ne nous fait pas avancer. On veut jouer, garder nos principes et prendre autant de plaisir. Même si la presse est moins dernière nous. »

Le RC Lens surfe actuellement sur une vague porteuse, suscite l'enthousiasme lié à ses attaques placées escortées par un fort soutien populaire. En cas de succès à Reims, cet après-midi, il réussira le meilleur début de saison de son histoire. Et son entraîneur comptera une moyenne de 1,65 point par rencontre, meilleur ratio toutes époques confondues.

« On a plus de diversité sur le plan offensif. À mon sens, on a plus d'efficacité. On est armés »

Florent Ghisolfi, coordinateur sportif de Lens
« On a su remplacer tous nos départs (au milieu, sur le flanc droit), analyse Florent Ghisolfi, le coordinateur sportif, sans perdre de qualités. On s'est renforcé sur d'autres lignes (gardien, attaquants axiaux, prolongation de Seko Fofana). On a plus de diversité sur le plan offensif. À mon sens, on a plus d'efficacité. On est armés. »

Même si tous ses joueurs n'ont pas forcément été au niveau au même moment, la force collective, les connexions et les circuits préférentiels ont tiré l'équipe nordiste vers le haut, effacé les absences (mentales et de joueurs) pendant certains matches. Notamment parce que les « anciens » (Gradit, Medina, Sotoca) sont bien meilleurs et plus expérimentés qu'il y a trois ans. Et parce que la machine à jouer a su se remettre en marche en imposant sa méthode et ses prises de risques à l'adversaire.

« Psychologiquement, on a confiance dans le projet du club et de l'équipe, renchérit Ghisolfi. Pour l'instant, on surperforme. Mais on ne s'enflamme pas. On respecte tous les adversaires. Sans craindre personne. En toute humilité, on va ferrailler avec plus d'endurance, de constance et la même exigence. Sans se poser de questions. »

j 'aime, le discour sur l 'endurance et la regularité !
quels beaux moments nous vivons !

Successeur de Cheick Doucouré, Abdul Samed Salis fait le bonheur du RC Lens par sa bonne humeur et ses performances

Par son intense activité et sa joie de vivre, le milieu défensif Abdul Samed Salis, arrivé cet été de Clermont, a généreusement remplacé son ami Cheick Doucouré au coeur du milieu du RC Lens.

Animateur du vestiaire artésien, Abdul Samed Salis est aussi un petit farceur. Ce 31 août au soir, dans l'écrin blindé complètement éteint de Bollaert-Delelis, toutes lumières de téléphones portables scintillantes, son coéquipier Seko Fofana était venu s'asseoir, en larmes, à la table de ses dirigeants dans le rond central. Quand ses coéquipiers sont venus l'arroser pour fêter publiquement sa prolongation, le Ghanéen, lui, en a profité pour chiper le contrat trempé laissé vacant par le DG Arnaud Pouille. Avant de le restituer quelques secondes plus tard à son dirigeant. Après l'avoir lu ? En fait, il semblait plutôt gêné, craignant d'avoir été trop loin.

« Il est comme ça Abdul Samed, il prend énormément de place au quotidien, ne serait-ce que par sa voix aigüe, confirme son formateur Adrien Gaignon, manager de l'académie JMG Côte d'Ivoire. Il rigole, se chamaille, il met tout le temps de la vie et n'est pas du tout timide. Quand c'est calme, on se demande s'il est malade. »

Infatigable essuie-glace devant la défense, le joueur de vingt-deux ans apporte la même énergie au coeur du milieu sang et or. Aide l'équipe de Franck Haise à conserver la maîtrise du ballon en passes courtes, amorce le contre pressing. Après ­6 rencontres de L1, il est en passe de faire oublier le pilier défensif des saisons précédentes, Cheick Doucouré, transféré cet été à Crystal Palace pour 22,6 M€ hors bonus.

Abdul Samed Salis
« La saison passée, raconte le transfuge de Clermont cet été, il restait 4-5 matches. On me prévient que Lens est intéressé. Doucouré, c'est mon pote, un peu mon frère (ils ont fréquenté la même académie à Bamako au Mali en 2014). On me dit qu'il allait peut-être partir. J'ai dit OK. Je regardais déjà tous les matches de Lens à cause de Douc'. J'aimais bien son intensité. C'est un peu mon style. Pour l'instant, les gens me disent que je fais comme lui, je suis content (...) Quand j'ai signé, Douc' était encore là, à côté de moi dans le vestiaire. Il disait aux gens : "Lui, c'est un fou, il aime danser, rigoler, vous allez le kiffer.'' Tout le monde a été cool. J'aime la bonne humeur, c'était facile dans ma tête. Le vestiaire est une famille. À Clermont, où on rigolait bien tous les jours, on mettait la musique à fond. Alors, j'ai fait pareil, j'ai dansé au stage à Rodez (mi-juillet), je n'ai pas chanté. Après, ils m'ont chambré, ils ont chanté "Salissou". »

Abdul Samed Salis
Le milieu fait parfaitement l'affaire dans le grattage, le colmatage et la récupération. Avec de la constance, même quand l'une de ses chevilles est douloureuse. « J'avais mal (contre Lorient, 5-2, 31 août), reconnaît-il. Deux minutes après, je marque, j'étais tellement content que je ne sentais même plus mon pied. » Le boute-en-train est toujours bien encadré. « Quand Douc'est parti, Seko (Fofana) a commencé à me parler, prolonge-t-il. Il me disait à l'entraînement : "Fais ci, fais ça, ça va t'aider, regarde les vidéos.'' Il est vraiment gentil, il m'aide à progresser. Il m'a dit : "Joue comme tu sais faire, ne te mets pas de pression dans la tête, sois libre.''»

Il ne manquerait plus qu'il s'en mette. Au cours de sa vie, l'anglophone a plutôt été très vite responsabilisé, contraint de se débrouiller seul. « J'ai deux petits frères, détaille-t-il. Mon père est décédé quand j'avais 8-9 ans. En 2012, j'ai arrêté l'école. Je me suis dit, il n'y a pas mon père, il faut que je cherche un truc. J'aimais bien le foot, je jouais tout le temps au quartier. L'académie JMG est venu faire des essais au Ghana, je suis parti, ils m'ont pris. J'ai fait les essais pendant un an. Et six ans chez eux (arrivé à Clermont en 2018 après un tournoi en Europe). Je ne parlais pas français. »

Mais il connaît le langage du jeu. « Il a une belle marge de progression, précise Adrien Gaignon. Il ne jouait pas beaucoup à Clermont en L2. Il s'est révélé en L1. Mais c'est le même joueur qui était avec nous, avec la même philosophie que Doucouré. Il a franchi les étapes et s'est adapté au jeu plus rapide. Il fait moins de fautes. Cet été, il est venu nous rendre visite (à Abidjan). Il avait ramené des maillots. Il a donné de l'argent à des joueurs et des personnes qui travaillent. Il était tellement content. Une joie innocente. Comme un gamin. Il n'a pas encore passé son permis. Il s'arrange encore avec ses coéquipiers pour aller à La Gaillette. » (L'equipe)

Ligue 1 : Lens n'a pas cru au coup de bluff de l'OM dans le dossier Clauss

Pablo Longoria aurait inventé de toutes pièces un accord avec un joueur de l'Atalanta pour faire baisser le prix du transfert de Jonathan Clauss. Lens assure ne pas avoir «marché».

Le stratagème est un classique de l'art de la négociation marchande. Il consiste à simuler la possibilité d'une alternative crédible pour faire baisser la valeur de la cible réelle. Comme révélé par l'Equipe, le directeur sportif de l'OM Pablo Longoria l'aurait employé cet été lors du transfert de Jonathan Clauss (29 ans), cherchant à réduire le prix d'achat et le salaire de l'international français qui évoluait au RC Lens.
Effectivement, ils nous l'ont fait [le bluff]», confirme dans La Voix du Sport le directeur sportif du RC Lens, Florent Ghisolfi. Les dirigeants lensois auraient été informés du fait que l'OM avait un accord total avec Hans Hateboer, joueur néerlandais de l'Atalanta. «Si ça a marché sur Jo, ça n'a pas marché sur nous», assure Ghisolfi. Jonathan Clauss a finalement été transféré pour 9 M€ et des bonus, un chiffre contesté par les dirigeants marseillais.

Bratac a écrit:

Ligue 1 : Lens n'a pas cru au coup de bluff de l'OM dans le dossier Clauss

Pablo Longoria aurait inventé de toutes pièces un accord avec un joueur de l'Atalanta pour faire baisser le prix du transfert de Jonathan Clauss. Lens assure ne pas avoir «marché».

Le stratagème est un classique de l'art de la négociation marchande. Il consiste à simuler la possibilité d'une alternative crédible pour faire baisser la valeur de la cible réelle. Comme révélé par l'Equipe, le directeur sportif de l'OM Pablo Longoria l'aurait employé cet été lors du transfert de Jonathan Clauss (29 ans), cherchant à réduire le prix d'achat et le salaire de l'international français qui évoluait au RC Lens.
Effectivement, ils nous l'ont fait [le bluff]», confirme dans La Voix du Sport le directeur sportif du RC Lens, Florent Ghisolfi. Les dirigeants lensois auraient été informés du fait que l'OM avait un accord total avec Hans Hateboer, joueur néerlandais de l'Atalanta. «Si ça a marché sur Jo, ça n'a pas marché sur nous», assure Ghisolfi. Jonathan Clauss a finalement été transféré pour 9 M€ et des bonus, un chiffre contesté par les dirigeants marseillais.

J'ai lu ça ce matin.
J'ai aussi lu l'interview de Ghisolfi dans la voix des sports

Tavernier a écrit:

Bratac a écrit:

Ligue 1 : Lens n'a pas cru au coup de bluff de l'OM dans le dossier Clauss

Pablo Longoria aurait inventé de toutes pièces un accord avec un joueur de l'Atalanta pour faire baisser le prix du transfert de Jonathan Clauss. Lens assure ne pas avoir «marché».

Le stratagème est un classique de l'art de la négociation marchande. Il consiste à simuler la possibilité d'une alternative crédible pour faire baisser la valeur de la cible réelle. Comme révélé par l'Equipe, le directeur sportif de l'OM Pablo Longoria l'aurait employé cet été lors du transfert de Jonathan Clauss (29 ans), cherchant à réduire le prix d'achat et le salaire de l'international français qui évoluait au RC Lens.
Effectivement, ils nous l'ont fait [le bluff]», confirme dans La Voix du Sport le directeur sportif du RC Lens, Florent Ghisolfi. Les dirigeants lensois auraient été informés du fait que l'OM avait un accord total avec Hans Hateboer, joueur néerlandais de l'Atalanta. «Si ça a marché sur Jo, ça n'a pas marché sur nous», assure Ghisolfi. Jonathan Clauss a finalement été transféré pour 9 M€ et des bonus, un chiffre contesté par les dirigeants marseillais.

J'ai lu ça ce matin.
J'ai aussi lu l'interview de Ghisolfi dans la voix des sports

J'aurais dû m'en douter c'est quand même toi qui tient la rubrique ! .. C'était histoire de participer !
Clauss il a une tête à se faire niq... Euh avoir... Et c'est pas fini

Danso dans l'équipe type du journal L'Equipe avec sa note de 8

Tavernier a écrit:

Danso dans l'équipe type du journal L'Equipe avec sa note de 8

Largement mérité.